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Janvier 2021
Avril 2020
Grâce à Joseph Kessel, nos petits confinés de CM2A ont pu voyager au Kenya et ont mis à profit leur talent littéraire et artistique !

Le narrateur parcourt l’Afrique à la découverte de ses trésors. Son périple l’amène à séjourner dans une réserve animale au Kenya au pied du majestueux Kilimandjaro. Il y rencontre son administrateur Bullit, un chasseur repenti avec qui il se lie d’amitié, sa femme Sybil, qui se languit de la vie dans la société anglaise, et leur fille Patricia, un enfant de 10 ans qui a la particularité d'être très proche des animaux de la savane et semble communiquer avec eux.
Fasciné par cette fillette, il va à ses côtés découvrir les aspects les plus cachés de la réserve, ses animaux majestueux, le fier peuple Masaï. Et surtout, il sera le témoin privilégié de la relation qui unit Patricia à King, le lion. Patricia l’a recueilli lionceau et l’a élevé. Un amour unique, inconditionnel et abyssal unit ces deux êtres.
Cette passion de Patricia pour King terrorise sa mère qui s’inquiète pour la vie de sa fille. Elle n’a qu’une obsession envoyer Patricia dans un pensionnat à Nairobi.
Oriounga, un jeune guerrier Masaï (morane), fasciné et séduit par le pouvoir que Patricia exerce sur le fauve, veut l’épouser malgré son jeune âge. Il décide d’affronter son lion dans un combat à mort, selon le rite ancestral du passage à l'âge adulte qui ordonnait aux « moranes » de tuer un lion bien que cela soit formellement interdit dans la réserve.
Pendant que King et Patricia jouaient ensemble, Oriounga commence un combat qui l’oppose au fauve, s’en suit une blessure mortelle infligée à ce guerrier irresponsable. Bullit, arrive sur le lieu du drame et bien que très est attaché à ce lion, le tue car c’est son devoir d’administrateur, il doit sauver la vie des humains.
Submergée par la tristesse et la douleur, Patricia prend la ferme et irrévocable décision de partir le plus loin possible de ses parents, de cette terre et de changer radicalement son mode de vie. Elle demande au narrateur de l’accompagner à Nairobi pour entrer dans le pensionnat.
Sirine Fahlaoui


Un parisien fasciné par la vie sauvage est en voyage au Kenya dans la région du Kilimandjaro. Il s’arrête dans un parc Royal où les animaux vivent en liberté. Ils sont protégés des chasseurs et sont tranquilles. Le narrateur rencontre une petite fille de dix ans, Patricia, la fille du gestionnaire du parc, John Bullit. Patricia est très mûre et très autonome pour son âge. Elle se déplace seule dans la réserve et connaît les animaux comme si elle savait leur parler. Le narrateur est fasciné par la relation qu’a la petite fille avec eux.
La mère de Patricia, Sybil, rencontre le visiteur et lui révèle qu’elle est très inquiète pour Patricia car elle est très amie avec un lion, King, qu’elle a élevé et soigné alors qu’il avait été abandonné. Elle pense que le lion reste un animal sauvage et qu’il peut même par mégarde blesser voire tuer Patricia. Sybil préfère que Patricia aille en pension, qu’elle reçoive une éducation car la vie sauvage n’offrira pas un bon avenir à sa fille. Le père de Patricia la fait suivre par un garde armé du parc pour assurer sa protection.
Patricia fait confiance au visiteur et lui fait rencontrer King. Le narrateur se rend alors compte que le lien entre Patricia et le lion est incroyable, presque magique. Patricia est une petite fille vraiment très particulière et elle comprend les animaux comme si elle en faisait partie.
Un jour, une tribu Massaï est de passage dans la réserve. Oriounga, un jeune Massaï tombe amoureux de Patricia et est fasciné par le lien qu’elle a avec King. Lors d’une cérémonie tribale, il demande Patricia en mariage. John répond alors qu’il verra quand Oriounga sera devenu un homme, car il sait que les Massaï ne sont que de passage dans la réserve et qu’ils vont repartir dans quelques jours. Selon les coutumes Massaï, Oriounga doit passer plusieurs épreuves pour devenir un homme, comme combattre à mort un lion. Il choisit alors de combattre King.
Alors que Patricia joue avec King, Oriounga s’attaque au lion malgré les paroles de Patricia pour le dissuader. King sent le danger mais Patricia lui demande de rester tranquille. Il lui obéit. Le jeune massaï est déterminé et plante sa lance dans le lion. Patricia pousse alors King à combattre. Il bondit sur Oriounga et le blesse très lourdement. Le père de Patricia surgit alors et ordonne à un de ses gardes de tirer, mais non pas sur le Massaï, mais sur le lion car en tant que chef de la réserve, il doit protéger les animaux, sauf si un homme est en danger de mort. Patricia assiste impuissante à la mort de King. Elle est dévastée par la tristesse.
Se sentant trahie par son père et inconsolable, elle décide alors de quitter pour toujours la vie sauvage. Elle part en pension à Nairobi, pour le plus grand soulagement de sa mère.
Iris David

Ce roman est l’histoire d’une jeune fille, Patricia, qui
habite dans un parc royal au Kenya. C’est la fille de l’administrateur. Elle
passe ses journées à courir dans la brousse et à observer les animaux. Elle
connaît toutes les habitudes et les langages des buffles, des zèbres, des
antilopes, des gazelles, des girafes, des éléphants... Son véritable ami est
King, un lion qui lui a été offert par Kihoro, le chauffeur et protecteur de
Patricia, alors qu’il était un faible et chétif lionceau. Patricia s’en est
occupé en le nourrissant au biberon, en le baptisant avant de le remettre en
liberté. Mais leur relation s’est poursuivie par des rendez-vous pendant
lesquels ils jouaient. Le lion raccompagnait toujours Patricia à son bungalow.
Sybil, la mère de Patricia, n’apprécie pas la proximité de
sa fille avec le lion.
Le narrateur est un français en voyage au Kenya de passage
au parc royal. Sa présence est agréable pour tous les membres de la famille de
Patricia. Il va rencontrer la jeune fille alors qu’ils observaient tous les
deux les bêtes en train de boire. Il est intrigué par l’amitié qui unit la
jeune fille au lion. Pendant son séjour prolongé il apprécie la compagnie de
Patricia et les paysages de la réserve.
Les masaï, peuple ennemi de ceux qui travaillent dans le
parc, sont nomades. Ils tuent et volent des animaux du peuple de Kihoro. Dans
cette tribu ils se marient très jeunes. Un des guerriers, Oriounga
l’orgueilleux, veut épouser Patricia. Il fait sa demande à l’occasion d’une
fête pour célébrer un nouveau chef masaï. Il existe une tradition qui
oblige tout guerrier massaï à tuer un
lion pour pouvoir se marier. Ils se donnent rendez-vous et un duel entre
le lion et le masaï se termine en sang. Le père de Patricia, avertit par un
ranger, arrive et tue le lion.
Patricia est dévastée par la mort de son ami King et demande
à quitter le parc et à oublier la brousse en retournant en pension à Nairobi.
Elle est en colère contre son père.
Timothée Corvaisier


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Juin 2015 ... Les CM2 en Classe verte au Grand Bornand
Mars 2014 ... Les CM2 en Classe d'Écriture à Thones en Haute Savoie
Magnifiques Dessins
Langage populaire et langage soutenu !
Réécrire ce texte en langage soutenu : Cher papa, Ton plan école et sagesse, ça me branchait pas des masses. Alors, histoire de déconnecter et de me fendre la pêche, je suis allé zoner sur la plage. Bonjour l'angoisse ! Je me suis fait avaler par une baleine. Chelou, la bête! Impossible de me tirer vite fait, j't' assure... Depuis, c'est le délire dans son estomac. Je te raconte pas l'ambiance, tellement c'est glauque. Il faudrait que tu m'aides à sortir de là : je balise comme une bête. Bon, ben, lut-sa, hein ! Pinocchio | devient : Mon cher papa, Je n'appréciais point ton programme disciplinaire et scolaire, et je me suis permis, pour me soulager un peu, de roder et de parader aux environs du littoral. Je me le reproche vivement, car me voici englouti dans le ventre d'une baleine ! J'ai essayé maintes fois de m'évader, mais le succès se transformait en échec. Inutile de te décrire les détails de cet horrible sort, car nous ne sommes pas à la fête, les planctons et moi. Aurais -tu l'extrême amabilité d'envisager quelque chose envers moi ? J'ai le mal de mer et la face bleuie par le froid, mais surtout par la peur. Cordialement, Pinocchio. (par Marie Salloum) | |
Texte à transformer en langage populaire : Cher monsieur l'extraterrestre Je vous adresse ce jour une lettre qui montre bien à quel point votre cas m'intéresse. En effet, comme vous le savez , après avoir parcouru le système solaire en quête de rencontres étranges portées par les vents cosmique, j'aimerais avoir le plaisir de pouvoir vous apercevoir. Vous, petit être verdâtre et souriant, qui m'aviez, il y a une décennie, si aimablement proposé des mets de choix dans votre modeste navette spatiale, vous même aujourd'hui, vous m'outragez d'un impertinent silence alors que je ne cherche qu'à vous sortir de votre ignorance sur les choses de notre galaxie ! Sachez, cher monsieur, qu'une telle impudence est pour moi source de tristesse et que je m'en vais hardiment vous prouver que, tout extraterrestre que vous êtes, vous ne pouvez vous moquer impunément de moi sans en tirer quelques fâcheuse conséquences. Bien à vous, Simon. | devient : Mon pote tout vert, Cette lettre va te faire changer d'avis illico si tu ne me croyais pas, et tu verras que je pense à toi. Puisque tu sais qu'j'suis passé partout de Mercure à Uranus pour voir si jamais j'rencontre des trucs bizarres, j'ai envie d'te voir. Toi qui, y a 10 ans, m'as goinfré à faire crever mon bidon, tu dis maintenant que tu te fiches de moi comme de ta première culotte, (c'est du joli çà !) alors que je te remercie ! T'es pas sympa et je suis triste, quoi ! Je vais me venger si tu continues. Salut, Simon (par Marie Salloum) Mon pote terrestre-extra, J’te passe un mot qui montre comment j’t’adore. Tu le sais, j’m’suis baladé sur des nètes-pla. Pour devenir ami avec des types étranges poussés par le vent tial-spa, j’voudrais t’rencontrer. Toi, minuscule type vert qui sourit, qui, y a dix ans, m’as proposé de bouffer dans ce truc spatial, qui m’réponds par ce silence, alors qu’je vous kiffe avec votre planète ! Apprends, mon acolyte, que c’que tu m’fais, m’attriste et je vais t’prouver que, t’es peut-être un gars sympa, mais avec moi faut pas jouer les mauvais chameaux ! Et qu’si tu me réponds pas au mot qu’je te balance, tu risques d’être mal mon petit pote, que je kiffe, que j’adore et qu’j’aime à la folie ! Simon (par Adonide Evesque) |
La Tour Eiffel à la manière de Sonia Delaunay
Le 28 avril 2009 ... Les CM2 visitent un site de Construction Géothermique au nord de Paris
Le 26 novembre 2008 ... Bandes Dessinées
Le poppy (ou coquelicot) est traditionnellement porté pour le Remembrance Day (le jour du souvenir ou jour de l’Armistice) en hommage à toutes les personnes qui ont perdu la vie lors des deux Grandes Guerres, ainsi que dans des conflits plus récents. Leur achat aide à subvenir aux besoins des orphelins et des blessés. En 1915, le poème In Flanders Fields de John McCrae, transforme cette fleur en symbole du souvenir. En 1920, une femme française decide de vendre des coquelicots faits à la main pour aider les enfants sinistrés par la guerre. En 1921, les premières fleurs sont vendues au Canada. Les coquelicots sont fabriqués par des anciens soldats à la retraite et vendus par des représentants de la Royal British Legion.
Lors du travail de civilisation sur le Royaume Uni, pendant le cours d’Anglais, les enfants de CM2 reçoivent leur poppy, en souvenir de tous ceux qui ont donné leur vie pour qu’ils puissent vivre aujourd’hui dans une Europe en paix.
Ms Pitot
Lors du travail de civilisation sur le Royaume Uni, pendant le cours d’Anglais, les enfants de CM2 reçoivent leur poppy, en souvenir de tous ceux qui ont donné leur vie pour qu’ils puissent vivre aujourd’hui dans une Europe en paix.
Ms Pitot
Le 28 novembre 2008... Les CM2 à La Comédie Française